LECTURE « Peut-on éteindre les incendies avec de la salive », THEATRE PARIS-VILLETTE

Le mardi 2 juin 2015, lors du Festival Catimino organisé par les Ecrivains Associés du Théâtre (EAT) dans le cadre du festival « La Belle Saison avec l’enfance et la jeunesse » initié par le Ministère de la Culture et de la Communication du 1er au 3 juin 2015.

Lecture de « Peut-on éteindre les incendies avec de la salive », piécette pour enfants écrite par Gérald Stehr.

Suivie d’une rencontre-discussion avec Gérald Stehr.

Théâtre Paris-Villette, 75019 Paris

Informations et Programme : ici

Lecture « L’Usage du monde » de Nicolas Bouvier par Samuel Labarthe – Théâtre de la Comédie Française, Paris

Le samedi 11 octobre 2014 À 16h, lecture par Samuel Labarthe de l’adaptation de « l’Usage du Monde » de Nicolas Bouvier par Gérald Stehr et Anne Rotenberg.

   Nicolas Bouvier et Thierry Vernet, col d’Ordu, Turquie, 1953. © Musée de l’Élysée, Lausanne, Fonds Nicolas Bouvier

Les photographies projetées au cours de la lecture proviennent du fonds photographique Nicolas Bouvier du Musée de l’Élysée, Lausanne. Les documents projetés au cours de la lecture et exposés dans le foyer du Théâtre du Vieux-Colombier proviennent du fonds d’archives Nicolas Bouvier de la Bibliothèque de Genève.

« Finalement, ce qui constitue l’ossature de l’existence, ce n’est ni la famille, ni la carrière, ni ce que d’autres diront ou penseront de vous, mais de quelques instants de cette nature, soulevés par une lévitation plus sereine encore que celle de l’amour, et que la vie nous distribue avec une parcimonie à la mesure de notre faible cœur. »
Nicolas Bouvier, L’Usage du monde

Théâtre du Vieux Colombier – Comédie Française.  21 rue du Vieux-Colombier, Paris 6e
Location 01 44 39 87 00/01

Lecture reprise mardi 2 décembre à 20h au musée Gustave-Moreau (Parie 9e).
Réservations 01 44 32 18 00
spectacle@musee-moreau.fr

SPECTACLE « DUCHAMP, MIS À NU PAR SA CELIBATAIRE, MÊME », THEATRE DU ROND-POINT, PARIS

Du 17 au 31 janvier 2014, « lecture-démonstration » de « Duchamp, mis à nu par sa célibataire, même ».

Adaptée par Gérald Stehr d’après les correspondances de Marcel Duchamp.

Mise en scène par Philippe Decouflé.

Interprétée par Philippe Decouflé, Alice Roland et Christophe Salengro.

Créée dans le cadre du Festival de la Correspondance de Grignan en juillet 2013.

 

Théâtre du Rond-Point, Salle Jean Tardieu – 2 bis, avenue Franklin D.Roosevelt, 75008 Paris.

www.theatredurondpoint.fr

Informations & Dossier de presse

Extrait vidéo

REPRISE – LECTURE DE « Gertrude Stein-Picasso, portraits croisés par Juliette & Polydoros Vogiatzis », SALLE GAVEAU, PARIS

Le mardi 12 novembre 2013, lecture par Juliette et Polydoros Vogiatzis de correspondances entre Gertrude Stein et Picasso librement adaptées par Gérald Stehr et Anne Rotenberg.
Mise en scène Didier Long.

Créée dans le cadre du Festival de la Correspondance de Grignan en juillet 2013.

Résumé:
L’Américaine Gertrude Stein est connue pour son portrait réalisé en 1905 par Picasso qui nécessita quatre vingt dix séances de pose et qui une fois achevé lui fut offert. Lors de leur rencontre, elle a 31 ans, Picasso 24. Picasso s’engoue de cette femme singulière et anticonformiste aux facettes multiples. « Gertrude était un être extraordinaire. Il suffisait qu’elle entre dans une pièce pour que la pièce soit pleine, même si elle était vide. Et elle comprenait la peinture. Elle m’a acheté des toiles quand personne d’autre au monde n’en voulait. C’était une amie. Et c’était un écrivain de première importance. » Dans cette déclaration à James Lord, Picasso évoque les trois figures de Stein, la mécène et collectionneuse, l’amie et confidente et comme il l’écrit « l’homme de lettres ». Si Picasso fit le portrait de Gertrude, Gertrude Stein brossa plusieurs portraits de Picasso. Elle devint le chantre du cubisme et développa une écriture contemporaine qui eût par la suite une grande influence sur l’avant-garde artistique. Comme elle le déclara à Picasso : « Il y a deux génies dans notre époque, vous en peinture et moi en littérature. »

Salle Gaveau – 45-47, rue de la Boétie 75008 PARIS
Informations et réservations : ici

Exposition « Les Variations de la figure », Théâtre National de Chaillot, Paris

En réponse à l’invitation du chorégraphe Alban Richard (artiste résident), exposition du « Septième Voyage du Gérald », intitulé « Les Variations de la Figure », présentant 72 Homo-rorschachiens suspendus dans le grand hall du Théâtre National de Chaillot.

Lors de ce septième de ses voyages, Gérald Stehr explore les terres des « homo-Rorschachiens » et tire les portraits de ses habitants. Ce voyage reste encore inachevé. Cette exposition présente 72 des 144 figures et essaie d’appliquer à la lettre le proverbe rorscharchien : « Mettre la main là ou on met la langue ».

« Les variations de la figure est une invitation aux deux peintres Gérald Stehr et Thibaud Thiercelin d’exposer leurs travaux dans le Grand Foyer de Chaillot. Les séries infinies de Gérald Stehr sur les transformations d’une même idée, l’obsession quotidienne de Thibaud Thiercelin à peindre le monde en figures hybrides, voilà ce qui me donne l’envie de découvrir leur peintures. Des variations du même toujours différent, des mondes enfouis encore inconnus. Partir à la découverte, envisager la peinture comme un territoire à explorer. Ces deux artistes ouvrent notre imaginaire et nous laissent composer notre propre poème à partir de leurs œuvres. » Alban Richard, artiste en résidence au Théâtre National de Chaillot

Visite en accès libre du 13 au 26 février 2013, aux horaires d’ouverture du théâtre (uniquement les jours de représentation, à partir d’1h30 avant le début des spectacles).

Théâtre National de Chaillot :  1 Place du Trocadéro et du 11 Novembre, 75016 Paris

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Récit de l’exposition vue par Bruno Montpied : « Le Fol de Chaillot, Gérald Stehr étend son linge au Palais, Thibaud Thiercelin jouant les bonus »